Il y a bien des niveaux émotionnels que l'on pourrait ajouter à cette histoire, très déséquilibrée en faveur d'éléments factuels. Le supplément émotionnel le plus basique que l'on peut intégrer complèterait cette histoire comme ceci, sans en changer le sens : "Le roi mourut et la reine pleura, folle de chagrin". C'est tout simple, mais cela change tout, car, formulée comme ceci, cette histoire en éveille d'autres en nous, nous fait imaginer des suites possibles. On aurait aussi pu la compléter l'histoire plus tragiquement : "... la reine pleura, le coeur brisé" ou "jusqu'à en mourir de chagrin"...